Comment cela se terminera-t-il?

- Hum... pourquoi pas! Je ne fais rien. Je ne termine pas vu que je ne commence pas.

Je rigola. Son portable sonna, mais il ne réponda pas.

- Ba, rendez - vous à 16h alors, et tu me dira se qu'on va faire. La je doit aller manger, une barre de céréale de me suffit pas, et après je reprend les cours, on se retrouve devant le bahu ?

Je me préparais à partir, en attente de sa réponse.

- Ok, pas de problèmes.

Galamment, je lui ouvris la porte, et m'inclinai sur son passage, en souriant moqueusement. Puis, je refermais la porte, allant m'asseoir sur mon lit. J'eus un peu honte d'avoir accueilli Synecla dans mon bazar: je rangeais donc. Puis, je m'écroulais sur mon lit. Je ne pris pas la peine de vérifier mes messages, je le ferai plus tard.
Avant de me rendormir, je pensais: ''La vie est belle, avec une ocuette et un oreiller... Tiens, bonjour lapin, tu veux une carotte?''

Yann m'ouvit la porte et s'inclina comme si j'étais autement graduée. Je lui sourit, et sortis. Une fois à l'exterieur, la cloche rétentis. Même pas le temps d'aller manger, n'importe quoi !! Je me mis à courir dans les couloirs, actes complètement déffendu par le réglement intérieur, ouvit fiollement la porte de ma chambre, jeta mon sac par terre, et fouilla dans mon immense bazard à la recherche de mon livre de maths. Une fois trouvé, je le mis dans mon sac de cours, ainsi que mon livre qui étais juste à ma gauche. Complètement en retard, j'agrippais mon sac, je mis sur mon os, referma derière moi la porte d'entrée qui donnait directement sur mon lit, et me mise à courir. Arrivant en cours, totalement éssouflé, le prof comme à son habitude me sermona, j'alla onc m'asseoir la tête haute comme ci je n'avais rien entendu, et sortie mes affaires. Pendant toute l'heure qui suivais, j'étais ans mes pensées, essayant de ne pas lire celles des autres. Puis la cloche rétentis de nouveau, je courru vers ma chambre, rejeta mon sac par terre, et alla me prendre un bain. Nous avions la chance d'avoir une baingoire, et non pas une simple douche, quelle venarde je suis, moi qui adore resté des heures dans le bain. Donc je fis couler l'eau, chaude de préférence. J'ajouta du savon, pour qu'il y ai de la mousse. Me déshabilla rapidement, et me glissa à l'interieur. Je m'allongea, ssayant de me détentre? Je mis ma montre sur le rebord du lavabo qui se trouvait juste à côté de moi, à porté de main, pour ne pas oublier l'heure. Mes long cheveux étaient à moitié mouiller, mon corps fû complètement recouvert de mousse. Je croit que je m'étais endormie, mais l'alarme de ma montre sonna, je me redressa, l'attrapant d'une main mouillé, et observa l'heure. Il étais 15h40. Je me leva, pris une serviette, m'essuya, et sortie de la salle de bain. J'ouvrai les tiroir de ma comode, fouilla dedans, pris une petite culotte, un soutif, une paire de colant noir, et hésita un instant sur une jupe. Finalement je la pris, avec un débardeur à brettelles. J'enfilais mes sous vêtements, puis mon collant opaque ainsi que ma jupe noire pllissée, suivit de mon débardeur gris qui couvrai que la moitié de mon ventre. Je passa de nouveau à la salle de bain, vida l'eau de la baignoire, et me brossa les cheveux, puis les dents. Je regarda ne nouveau l'heure, il étais 16h, j'étais en retard. Je me parfuma vite fait, je porte toujours le même parfum, et enfila mes converses noirs à lacets blancs que je ne fesaient presque jamais. Je pris ma veste en cuire, et sortie. Je courrut vers l'entré du bahu, et Yann m'attendait.

Synecla courut vers moi. Je souris.

- Quatre minutes de retard!!! T't'ention, ça se dégrade!! dis-je moquesuement

Je commençai à marcher vers le parking. Puis me retournai

- Tu me suis??

- Ouep.

On allait prendre quelle voiture la ? Il en a pas lui, il n'y a que moi. Han à moins qui l'en ai chourré une !! Je le suivais, préoqupé par se léger point. Que je suis bête, bien sur qu'on va prendre la mienne, et puis quoi encore. C'étais bien nous ( Johanna et moi ) qui l'avions accompagné ici.

Elle semblait légèrement soucieuse. Toujours un peu moqueusement, je fis:

- Bon, tu me conduis à ta voiture, ou on couche ici??

T't'ention, il n'y a aucun sous-entendus sexuels...

J'éclata de rire. Je passa devant lui, marchant dans la direction de ma petite voiture. Celle ci étais garée juste à quelques mètres. Une fois devant, je lui fit signe de monter côté passager. Je n'allais pas lui ouvrir la porte tout de même. Moi, je m'assis derrière le vollant. Je demarra la voiture, bruit du moteur qui tourne, je baisse le freind à main, et commence ma marche arrière. Hop' petit acrochage, pas de panic, se n'est rien. Je continuais comme si de rien étais? Je regardai bien la route, essayais de ne pas faire de fausse manoeuvre. En fesant tout ça, j'étais crispé, et ma langue dépassais de ma bouche comme quand je ma concentre. J'avais pas l'air tebé comme ça. Pour l'instant, personne de disais quoi que se soit. Nous entendions juste le bruit du moteur qui tourne, et les quelques petits dérrapages de ma part.

Je m'accrochai au siège comme à ma vie. Je bredouillai:

- Euuh, Synecla, je croyais n'avoir peur de presque rien, mais j'ai trouvé la chose la plus flippante: toi au volant!! Plus doucement!!

Je ne faisais même pas semblant. J'avais vraiment, vraiment, peur.

- Euuh, Synecla, je croyais n'avoir peur de presque rien, mais j'ai trouvé la chose la plus flippante: toi au volant!! Plus doucement!!

J'appuyais sur le freind. Oups j'ai appuyer un peu trop fort.

-D'accord, excuse moi. On s'arrête dans une discoteque ? Un bar ? Ou je sais pas. Propose.

Je continuais à regardé la route. Puis j'ouvrir ma fenêtre, l'air étais doux, mes cheveux volaient dans le vent. Je me sentis tout de suite mieux. J'attendais la réponse de Yann.

- Une discothèque? T'es malade, je suis pas là pour me bourrer la gueule!! Nan, on va se promenéééééééééhhhh!!! Doucement!!!!

Je devais être livide de peur. Je jurai entre mes dents. Puis ajoutai:

- S'il te plaît, tu me fais peur. Ralentis.

Ce promener ? Je ne pensais pas qu'il étais comme ça. Moi je me serrais bien bû quelques verres, mais bon.

- Ok va pour la promenade.

Je m'arrêta au bord d'un champ, la mer étais à côté. J'adorais la mer, le sable doux et tout le tralala. Je descendi de ma voiture noire, referma la porte derrière moi, et respira une grande bouffé d'air fraîche. On s'entais l'eau salée à quelques centaines de mètres. J'attendais le charmant jeune homme qui m'accompagnais. Je ne pense pas qu'il est apprécier la virée en voiture. Moi j'adorais.

LA voiture s'arrêta enfin. Je parie plus de dix euros que je suis tout vert. J'ouvris la porte et fit quelques pas en chancelant. Je m'ébrouai.

- Brr.. enfin, au moins y fait chaud. ça pue la mer.

Alors ça, c'est la phrase culte!!

- On y va, dans cette grande étendue salée...


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